Les conditions météo ne sont pas très favorables dans la baie d’Auckland. Pluie. Peu de vent. Seuls deux match-races sur les quatre prévus ont pu être disputés. Mais l’impression de la première journée se confirme : les Kiwis et les Suédois sont les plus forts.
Au cours du premier des deux matches, les Anglais se sont inclinés face aux Suédois de 58 secondes. Une défaite sans appel pour les Britanniques même s’ils avaient remportés la phase de départ et coupé la ligne avec 12 secondes d’avance sur Örn. Le bateau barré par Andy Beadsworth parvient même à contrôler celui de Jesper Bank malgré une légère supériorité du nouveau bateau. Puis le vent tombe régulièrement pour ne plus souffler qu’à 4 noeuds en fin de bord de portant. Sur le second bord de près, le vent se met à tourner régulièrement à gauche et les Suédois en profitent pour passer les Anglais qui ne peuvent plus revenir lors du dernier bord vers l’arrivée.
Dans l’autre match, les Néo Zélandais infligent une sévère défaite aux Américains de OneWorld par deux minutes et treize secondes d’avance sur la ligne d’arrivée. Ces deux syndicats vivent d’ailleurs en ce moment une sévère opposition sur le tapis vert. Au coeur des débats : l’affaire Sean Reeves. Le Néo Zélandais, ancien membre du TNZL, accuse de nombreuses personnalités de la Cup (architectes, coureurs, etc.) et en particulier le syndicat OneWorld, d’avoir acheter ou vendu les secrets des bateaux vainqueurs de la dernière édition de la Coupe...
Mais en attendant les décisions des cours de justice de Seattle (où est basé OWC qui a porté plainte pour diffamation) et de l’Arbitration Panel de la Cup, les deux défis se sont affrontés sur l’eau. Côté américain, c’est James Spithill (né en Australie) qui tenait la barre de l’ancien Star and Stripes. Côté Néo Zed, Dean Barker, vainqueur de la dernière régate de la Coupe 2000, reste l’incontournable barreur des bateaux noir. Comme à leur habitude, les Kiwis ont remporté la phase de départ. Ensuite il n’y a pas eu de match tant l’avance des Blacks était confortable.
Les prochains matches auront lieu jeudi après une journée de repos.
Le Protocol prévisionnel publié par le Defender Emirates Team New Zealand le 23 mai dernier, fruit de discussions impliquant toutes les équipes, marque différentes avancées que nous soutenons.
Lorsqu’en avril dernier, Alinghi Red Bull Racing a décidé de ne pas participer à la 38e America’s Cup, c’était en raison de sérieuses préoccupations concernant l’administration et la gouvernance de l’America’s Cup par le tenant du titre, Team New Zealand.
Le plus vieux trophée sportif du monde ne déroge pas à sa maxime établie il y a plus de 170 ans, « il n’y a pas de second ». Et donc, qu’un seul vainqueur. Ce vainqueur étant, pour la 3e fois consécutive - la 5e au total - le Royal New Zealand Yacht Squadron. Le club et son équipe, Emirates Team New Zealand, sont les grands gagnants de cette (…)
La Coupe de l’America ? A la fin, ce sont encore les Kiwis qui gagnent ! La 9e manche aura été la dernière régate disputée sur le plan d’eau de Barcelone. Les Néo-Zélandais ont écrasé leur concurrent. Un premier tour avec une avance bâtie avec facilité face aux Anglais. Trop facile même, au point que le Defender en perd son match-race et laisse (…)
Comment dit-on « there is no second » en italien ? La sélection du Challenger qui affrontera les Néo-Zélandais dans quelques jour pour la 37e édition du plus vieux trophée sportif du monde est terminée. Et ce sont les surprenants Anglais qui se sont imposés au terme d’une Louis Vuitton Cup pour laquelle il n’y a qu’un vainqueur. Les Italiens (…)
Le plus vieux Trophée sportif au monde, l’America’s Cup, sait se renouveler, innover sur chaque édition, et pas seulement au niveau technologique. En 2013, les Américains ouvraient la compétition aux jeunes générations en créant la première Youth America’s Cup dédiée aux marins âgés entre 18 et 25 ans ; les Néo-Zélandais ont conservé cette (…)
Bruno Peyron, skipper of the maxi-catamaran Orange with Gilles Chiorri (boat captain) and Yann Penfornis (one of the boat’s designers) and Eric Mas (Météo Consult) at his side has just announced at a press briefing in Vannes that he will be casting off this afternoon at about 1800 setting course for Ushant to cross the starting line of the (…)
Bruno Peyron, skipper du maxi-catamaran Orange entouré de Gilles Chiorri (boat captain), Yann Penfornis (architecte du bateau) et Eric Mas (Météo Consult), a annoncé lors d’un point presse à Vannes qu’il appareillera aux alentours de 18h00 pour mettre le cap sur Ouessant et prendre à nouveau le départ du Trophée Jules Verne demain dans la matinée.
Il y a un tout juste an, le 3 mars 2001 à Marseille, le maxi-catamaran Club Med franchissait en vainqueur la ligne d’arrivée de la première édition de The Race, au terme de 62 jours, 6 heures, 56 minutes et 33 secondes d’une navigation hors-norme. 27 408 milles (soit 50 760 Kms) avalés à la moyenne hallucinante de 18,3 noeuds... du jamais vu !
While the shore teams beaver away in the never-ending heat, preparing the race boats for the next leg of the Volvo Ocean Race to Miami, the race crews have been resting and relaxing. Some have returned home, but those remaining in the city of Rio de Janeiro have been out and about and making the most of this lively city.
The maxi-catamaran Orange’s capshrouds and shrouds, which they were still waiting on wednesday to be returned from the USA, have arrived and have cleared customs. Philippe Peche and Vladimir Dzalba Lyndis dispatched to Paris to collect them are now on the way back to Vannes with their precious load !
Early yesterday afternoon, the Cap Gemini Ernst & Young Schneider Electric trimaran was already heading for the north-west point of Brazil, thanks to the light trade winds now blowing from the east-south-east.
Hier en début d’après-midi, le trimaran aux couleurs de Cap Gemini Ernst & Young Schneider Electric, grâce à des alizés légers d’est-sud-est, pointait déjà par le travers de la pointe nord-ouest du Brésil à environ 550 milles nautiques du continent sud-américain et glissait alors majestueusement sur les vagues de l’Atlantique sud à plus de (…)
Depuis plus d’une semaine, les équipages, après quelques jours d’un repos bien mérité, ont repris le collier pour préparer leur bateau pour la prochaine manche, l’étape Rio de Janeiro – Miami, dont le départ sera donné le samedi 9 mars.
En un temps record, le chantier naval Multiplast, constructeur des Jet Services, des sister-ships Club Med et Orange / Innovation Explorer ou encore de Geronimo et des deux derniers Class America français, a réparé le mât brisé du catamaran de Bruno Peyron.