Les Glénans profitent du Nautic de Paris pour exposer le K. I. S. S, un bateau conçu avec une puissante ambition pédagogique. Le Kiss, pour « Keep it Smart & Simple » a tout du petit trimaran d’initiation. Ses trois coques effilées de 6,6 m lui assurent une parfaite stabilité et il est aussi à l’aise sous voile qu’à la rame. Pourtant, la vocation de ce nouvel engin, fabriqué en fibre de lin et PVC recyclé, va bien au-delà de la découverte de l’activité. Le K.I.S.S est en effet pensé comme un trait d’union vers la mer et il va permettre aux lycéens de découvrir les métiers du nautisme.
10 kits offerts aux lycées
Dans les prochains mois, dix unités seront livrées gratuitement – en kit – dans des établissements scolaires retenus par l’association. Les lycéens en assureront la fabrication, avec l’aide de leur enseignant et le soutien de la célèbre école de voile. Ce projet né sous le signe de l’inclusion permet à quelques 300 élèves « d’avoir un premier rapport à la mer, le tout dans une expérience à la fois collective et écologique » explique Tom Daune, Délégué Général de l’association. Une fois le bateau construit, les lycéens peuvent tirer leurs premiers bords au sein de l’école de voile. « Le K.IS.S. est unique dans un cadre scolaire. Il allie l’aventure humaine, le savoir-faire et le plaisir très concret d’aboutir à la construction d’un bateau, le mettre à l’eau et naviguer » se réjouit Eric Pérégo, Président de l’association.
Démocratiser la voile
Le K. I. S. S s’inscrit parfaitement dans l’histoire de l’école de voile des Glénans qui a déjà lancé plusieurs bateaux à succès. L’école est en effet à l’origine du Vaurien ou de la Caravelle, deux supports d’initiation fabriqués à plusieurs milliers d’exemplaires qui ont permis au plus grand nombre de découvrir la mer. « Nous renouons avec la construction d’un bateau avec de nouveaux usages. Nous abordons les enjeux de la plaisance de demain à travers une forme de sobriété technologique » explique Tom Daune.
Une innovation sociale et technique
Le K.I.S.S. candidat au concours de l’innovation lancé par le Nautic. C’est un engin innovant par sa vocation pédagogique mais également par la technique. Dessiné par l’architecte Hervé Penformis, il peut être fabriqué en fibres végétales ou en contreplaqué. Son gréement se distingue par sa grande simplicité. Tout le plan de voile est autoporté et même la voile d’avant est maintenue par un mât incliné qui ressemble à s’y méprendre à un étai. Ce projet, initié par l’école de voile il y a deux ans a été rendu possible grâce au soutien de partenaires privés et publics. Il bénéficie notamment de l’appui du Secrétariat d’Etat Chargé à la Mer, de la Région Bretagne, du Musée National de la Marine et du Cluster Maritime Français.
A ce jour, cinq établissements ont été retenus. Il s’agit de :
– Lycée Hyacynthe Bastaraud de Marie-Galante (971-Guadeloupe)
– Lycée Éric Tabarly des Sables d’Olonne (85-Vendee)
– Lycée Saint Gabriel de Pont L’abbé (29-Finistère)
– Lycée Pierre Gueguin de Concarneau (29-Finistere)
– Lycée Langevin de la Seine sur Mer (83-Var)
La construction de l’Oléo Banjo, le Cherub de Ronan Gélébart, est terminée. Après le Banjo, un voilier de course-croisière sur plans Rolland, Ronan a construit et terminé son premier skiff. Le deuxième est déjà dans le moule alors que Ronan tire ses premiers bords sous spi asymétrique à la barre de son nouvel engin. Retour sur la fin de la (…)
« La construction du bolide continue ! » écrit Ronan Gélébart passé maître en construction de Banjo, de maison et maintenant de Cherub, ce skiff construit en amateur. Lors de cette nouvelle étape dans la vie de chantier du dériveur, on découvre l’utilité d’une trayeuse à vache ! Pas étonnant pour un beau bébé né à la campagne...
La pré-construction du Cherub est terminée. Le moule femelle de coque est achevé et paré à recevoir ses premières couches de fibre. C’est ce que nous raconte Ronan Gélébart en illustrant ses propos des photos du démoulage. Dès cette opération bouclée, Ronan a commencé la fabrication de la première coque...
Vous vous souvenez de Ronan Gélébart ? Pas lassé par la fabrication du Banjo, un voilier de 8,70 mètres de long sur plans Pierre Rolland, le voilà qui se lance dans la construction d’un skiff de 12 pieds. Il devait donc rester un peu de contreplaqué après la fin du chantier du Banjo...
Depuis samedi, le Banjo de Diane et Ronan Gélébart dont on a pu suivre la construction sur SeaSailSurf a été baptisé. Peu de temps auparavant, il prenait de la couleur sous la direction technique de ses propriétaire dont on se demande où ils sont allés chercher cette idée ! Du coup, Ronan a envoyé un mail a tous ses amis avec un extrait de (…)
"l’aventure du Banjo continue, avec les beaux jours, le moral revient, ça sent bon la mise à l’eau !" écrit Ronan Gélébart lors de son dernier épisode en date de l’aventure Banjo. Au menu du jour : la fabrication des safrans et leur pose sous la jupe du Banjo...
Une semaine après le départ des monocoques de la 5e Transat Jacques Vabre, 6 jours après le départ des multicoques, il apparaît clairement que la course se joue beaucoup avant le départ… Plusieurs concurrents joints ce samedi pendant la vacation l’ont évoqué, pour expliquer leurs bonnes ou mauvaises performances, voire leur abandon (BANQUE COVEFI).
After five days of sailing in challenging conditions, competitors and officials alike judged the 2001 International Foundation of Disabled Sailing (IFDS) World Disabled Sailing Championships a resounding success. The championship, held in Florida from October 24-31, was co-hosted by St. Petersburg Yacht Club and Sailing Alternatives (a disabled (…)
La phrase est de Michel Desjoyeaux (Belgacom) et rappelle sa remarque d’hier matin, comme quoi « la journée (de jeudi donc !) n’allait pas être dénuée d’intérêt ! ». Et, en effet, si l’on regarde les positions de ce matin 6h00, Foncia (Gautier/MacArthur) a 4,5 milles d’avance sur le trimaran belge mais surtout le troisième Groupama (…)
Furtif 60’ n’est pas qu’un nom de code. La coque, longue de 18,28 mètres de long est bel et bien réelle. Grâce au soutien de Guy Crimetz qui le parraine depuis sa Mini-Transat 1999 sous les couleurs d’Ymag, Elie Canivenc est parvenu à monter son projet pour participer au prochain Vendée Globe. Tout a d’ailleurs commencé en Guadeloupe. En (…)
L’Australien Joel Parkinson, 20 ans, a remporté à Phillip Island en Australie son deuxième titre de champion du monde jeune de l’Association des Surfers Professionnels.
Overnight, Fujifilm (Peyron/Mignon) has been trying to extricate herself from a dead wind zone in between the Canary Islands (Gomera & Hierro), while Foncia (Gautier/MacArthur) has squeezed ahead of Belgacom (Nélias/Desjoyeaux) by just 10 miles, as they both curved round the archipelago to the West. These two giant ‘Expresso machines’ are (…)
Elite top 45 surfer and 1999 event winner Joel Parkinson (Aus) today reclaimed his throne by securing the 2001 Billabong World Junior Championships. Up against close friend and 2002 World Championship Tour (WCT) member elect, Mick Fanning (Aus), ’Parko’ topped off a brilliant junior career in his last eligible attempt, pocketing US$6,000 along (…)
Fujifilm « tricote » soit essaye de se sortir d’un chronique manque de vent au milieu même des îles des Canaries (Gomera et Hierro), Foncia et Belgacom glissent en faisant l’extérieur de l’archipel espagnol et Groupama s’apprête à s’arrêter à Tenerife pour remplacer son safran tribord perdu lors d’un choc survenu dès le deuxième jour de course.