Après trois mois de chantier, le trimaran Maître Jacques a été remis à l’eau vendredi 15 avril à Port La Forêt. Le Multi50 rouge et blanc a notamment bénéficié d’une efficace cure d’amaigrissement...
160 kg de moins grâce à son nouveau mât, autant de gagné via ses appendices tous neufs (safran et dérive centrale) : au total, pas moins de 300 kg ont été retirés du trimaran Maître Jacques.
« Ce travail a commencé dès le moins de décembre 2010 par une étude menée avec les architectes : l’objectif était bien sûr de gagner en performance, dans un budget bien défini. Changer de mât était notre grosse priorité, notamment pour gagner un précieux poids dans les hauts. Pour le reste, rien de révolutionnaire, nous avons repris ce qui se faisait de mieux aujourd’hui, par exemple les profils de dérive et de safran de Crêpes Wahou 3 », détaille Loïc Féquet.
À plus de 70 ans, Éric Loizeau, qui incarne comme personne les croisements d’expérience entre la course au large et la haute montagne, annonce son retour en mer pour participer à la Route du Rhum 2026. Et pas à bord de n’importe quel voilier puisqu’il a choisi Flo, l’ancien trimaran de Florence Arthaud, comme compagnon de route pour cette (…)
À l’issue d’une course haletante, le Maxi Banque Populaire XI a franchi la ligne d’arrivée ce lundi au petit matin à 6h23. Après 1 jour, 18 heures et 3 minutes de course, l’équipage autour d’Armel Le Cléac’h termine à 45 minutes du vainqueur (SVR-Lazartigue). Un sprint qui contribue à poursuivre la montée en puissance de l’Ultime avant la (…)
Edenred, engagé dans la course au large depuis 2018, entame un nouveau cycle avec la mise à l’eau de son Ocean Fifty ce 18 juillet 2025 au Verdon-sur-Mer. Une journée empreinte d’émotions pour Basile Bourgnon, Emmanuel Le Roch et tous les acteurs mobilisés autour de la réalisation de ce premier trimaran Edenred par les équipes du Neo Sailing (…)
Il n’y a que six bateaux dans le monde qui appartiennent à la même catégorie qu’IDEC SPORT, le maxi trimaran de 100 pieds qui détient actuellement le record du monde du tour du monde à la voile le plus rapide, l’emblématique Trophée Jules Verne.
L’Act 2 des Ocean Fifty Series s’achève à Concarneau sur de belles actions réalisées dans le cadre du premier grand prix ambitieux en termes d’inclusion, de mixité et de durabilité et sur une nouvelle victoire d’Erwan Le Roux (Koesio) après celle de l’Act 1 à Saint-Malo. Il s’en est fallu de peu. Sébastien Rogues (Inter Invest) occupait la (…)
Du 29 avril au 10 mai 2026, les ULTIM se donneront rendez-vous à Antibes. À bord de ces multicoques volants, les équipages disputeront une course vers l’inconnu au fil d’un sprint haletant et épique, qui les mènera jusqu’aux rivages de la Grèce, avant de revenir dans la cité antique. Un défi humain et technologique sur les traces de l’Odyssée (…)
Two years after his first attempt, Yannick Bestaven has made an exploit by winning the Transat 650 Charente Maritime Bahia by finishing first in both legs.
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Deux ans après sa première expérience, Yannick Bestaven a réussi l’exploit inégalé de remporte la Transat 650 Charente Maritime Bahia en s’imposant sur les deux étapes.
Le lundi 5 novembre, au chantier Multiplast de Vannes, débutera la construction d’un nouveau Class America français. Après un an et demi de travail réalisé par un Design Team regroupant douze experts du meilleur niveau mondial, le Défi pour l’America’s Cup 2003 se félicite de remplir à l’heure le planning fixé.
Olivier Desport a franchi la ligne à 13h13 TU (14h13 heure française) en tête des Séries. Coup double pour cet amateur très éclairé qui gagne, comme Bestaven chez les Protos, l’étape et la course. (Olivier n’a cependant pas remporté la première étape en Série qui a été gagnée par Michel Mirabel sur Discount Marine).
Nouvelle surprise au classement cumulé des deux étapes. S’il est déjà étonnant qu’un solitaire s’impose en remportant les deux manches de la Transat 650, un non Français vient de réaliser une excellente performance en s’adjugeant la deuxième place du podium.
“Dans le temps, au Québec, on avait la possibilité de donner à ses enfant un nom de famille différent. Ma mère, Dominique Manny, née en France, et mon père Carl Mailhot, on donc choisi de me donner le nom d’une rivière du grand Nord du Québec. Ils étaient partis là bas en 1968 pour faire une excursion en canot...”