La cinquième étape de la 11e édition de la Volvo Ocean Race, entre la Nouvelle-Zélande et le Brésil, a connu le plus important nombre d’avaries au sein de la flotte à ce jour. Après un parcours de 6700 milles, un seul bateau - PUMA Ocean Racing - est arrivé indemne.
Chris Nicholson, skipper de CAMPER avec Emirates Team New Zealand, est en train de remonter en course le long des côtes de l’Argentine pour prendre les 15 points de la quatrième place.
Nicholson décrit les bateaux de la dernière génération (sur cette édition, ils le sont tous à l’exception de Team Sanya) comme aussi difficiles à construire qu’à naviguer, mais précise que ce défi fait partie intégrante de la Volvo Ocean Race dans l’esprit de ses fans. Selon lui, ce fait est parfaitement intégré par les marins professionnels qui mènent ces bateaux.
« Vous ne pouvez pas produire des voiliers plus rapides, qui offrent une action aussi passionnante au large et dans les épreuves In-Port. Vous ne pouvez pas offrir la vitesse et des sensations fortes sans qu’il y ait un peu de casse.
« J’imagine qu’il y a des opinions très différentes ici et là ; mais tous ceux qui naviguent à bord de ces Volvo Open 70 savent très exactement de quoi ils sont capables, » ajoute Nicholson.
« Nous pourrions faire cette course sur des bateaux avec des coques en acier en avançant à 12 nœuds maxi et ne rien casser. Ce serait la meilleure façon de faire fuir le public.
« J’aime la formule que nous avons actuellement. Elle apporte un vrai challenge et c’est une des raisons pour laquelle cette course attire les meilleurs marins du monde. Ce sont des bateaux plutôt cools mais difficiles - et c’est ainsi que ça doit être à ce niveau de sport. »
Le dénouement de la première étape de The Ocean Race Europe 2025 s’annonce « chaotique », avec des équipages qui se préparent à une nuit blanche, ponctuée de manœuvres alors qu’ils progressent au près vers l’arrivée.
Pour la première fois de l’histoire de la course, les marins de The Ocean Race feront l’expérience de régater sur les eaux spectaculaires de la mer Rouge. AMAALA est située dans la partie nord de la mer Rouge, sur la côte ouest de l’Arabie saoudite, et la recherche océanique dans la région est extrêmement importante pour comprendre comment (…)
The Ocean Race annonce une nouvelle course transatlantique en équipage complet pour la classe IMOCA pour l’été 2026. The Ocean Race Atlantic reliera la métropole américaine de New York à la capitale européenne du cool, la ville catalane de Barcelone. Il s’agira de la première course de point à point en plus de 50 ans d’histoire de The Ocean Race.
La Webuild In Port Race de Gênes a été le théâtre des derniers départs et arrivées de la VO65 Sprint et d’une course épique autour du monde pour les IMOCA
Team Holcim-PRB termine sa première Ocean Race sur le podium en seconde position, en ayant porté son message Go Circular tout autour du monde. L’ensemble de l’équipe félicite 11th Hour Racing Team pour sa remarquable victoire, ainsi que l’ensemble des équipes engagées pour leurs performances réalisées sur ce tour du monde en équipage.
Après avoir couru autour du monde et relevé tous les défis, 11th Hour Race Team est aujourd’hui en route pour Gênes en tant que vainqueur confirmé de The Ocean Race.
Le Néo Zélandais, vainqueur de la Whitbread, deuxième détenteur du trophée Jules Vernes et double vainqueur de la Coupe de l’America aurait été assassiné ce matin en Amazonie.
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Le nouveau Figaro Bénéteau serait-il déjà un succès ? La classe Figaro Bénéteau reconnaît comptabiliser entre 20 et 25 intentions d’achat. Le chantier Bénéteau qui a promis de construire 50 bateaux en un an remplit son carnet de commandes.
Après une saison record dont la principale épreuve était la Transat Jacques Vabre en double, Franck Cammas et Alain Gautier ont terminé au coude à coude. Chacun marque 78 points sur la saison mais c’est le skipper de Groupama qui s’impose grâce à sa victoire dans la transatlantique.
Onze skippers sont classés (Joyon, Duprey et Richards n’ont (…)
Le premier Open 570 exposé à la Porte de Versailles. Déjà dix commandes. Photo : Ch.Guigueno
Les chiffres sont inversés mais le concept reste le même. Une raison à cela, le papa des deux quillards moderne n’est autre que le Groupe Finot. “Finot a déposé la marque Open” précise, un brin énervé, Bruno Hervouet, le patron du chantier Phileas qui construit cette version assagie de la bête en série.
Laurent Brossat devant le Fun Power exposé au salon nautique de Paris. Photo : Ch.Guigueno
La carène possède un air d’Europe. Laurent Brossat, son architecte et constructeur, avoue justement être un ancien régatier de cette série. Il a aussi navigué en Laser et s’est inspiré des skiffs, les 18 pieds australiens, pour dessiner un dériveur en solitaire de la nouvelle génération.
L’Australienne Layne Beachley vient de remporter son quatrième titre mondial consécutif en se qualifiant pour les quarts de finale du Billabong Pro Maui. Sa compatriote Neridah Falconer s’adjuge de son côté l’épreuve en battant en finale Pauline Menczer.
Australian Layne Beachley today reached an ’Everest’ of a career goal by equaling the previous record set of four consecutive world titles by claiming her fourth at the Billabong Pro Maui, the final women’s World Championship Tour (WCT) of 2001. Neridah Falconer, meanwhile, achieved her own milestone this afternoon by defeating 1993 world (…)
illbruck arrive à Sydney à 2 heures GMT ce matin. Photo : Daniel Forster / illbruck
En franchissant en vainqueur, à 01h 22 (heure française – 11h 22 heure locale) la ligne d’arrivée de la seconde étape Cape Town – Sydney, illbruck signait une magnifique victoire, arrachée aux différentes fortunes de mer qui ont éprouvé l’équipage battant pavillon allemand depuis le début de cette manche de 6 550 milles. Les ennuis de illbruck (…)