Après de nombreux voyages aux quatre coins du globe, le trio pose ses valises sur sa terre d’origine : la Bretagne. « Plus on voyage, plus on se rend compte que la Bretagne est belle et qu’on ne la connaît pas assez, alors que c’est chez nous » commente Ronan Gladu. Par les mers et les canaux, ils sont à la recherche de nouvelles rencontres, de criques isolées et de vagues vierges.
Pour atteindre les mystérieuses vagues qui se forment au large des côtes bretonnes, ou sur les îles, le bateau est moyen de transport original. Ronan, Ewen et Aurélien veulent qu’il soit léger, stable, passe-partout et surtout, éco-conçu. Convaincus du projet, le célèbre navigateur Roland Jourdain, expert en Bio-composites, et l’entreprise morbihannaise Tricat rejoignent l’aventure en mettant en commun leurs compétences. Gwalaz est né de ces rencontres et de l’association des compétences de chacun.
A son bord, les jeunes surfeurs feront le tour de la Bretagne (Golfe du Morbihan, Finistère sud, Presqu’île de Crozon, Archipel Molène-Ouessant, Baie de Morlaix, Côte de Granit Rose, Canal Manche-Ocean).
L’aventure sera entièrement filmée et partagée sous forme d’une web-série de 8 épisodes diffusée gratuitement sur Internet : Lancement le 13 juin 2013 à 12h sur www.lostintheswell.com.
La "semaine olympique", deuxième épreuve du circuit mondial olympic s’est terminée il y a peu et voici déjà la vidéo de 52 minutes qui revient sur l’ensemble des régates disputées en Nacra 17, 49ers et kiteboard...
Ewen Le Goff, Ronan Gladu et Aurélien Jacob sont de retour ! L’été dernier, ils sont partis en fat-bikes explorer les côtes inhabitées du Gabon à la découverte de régions inexplorées, à la recherche d’aventures, de rencontres avec la population locale... toujours en quête de nouvelles vagues.
Le skipper français Armel Armel Le Cléac’h et le skipper britannique Alex Thomson terminent leur tour du monde à la voile ce jeudi ! Leur arrivée aux Sables d’Olonne est diffusée en LIVE.
"SUP Hydro foiling downwind is the future !" C’est Kai Lenny qui le dit. Avec son SUP construit par Naish équipé d’un foil Go Foil, il a mis au point un Stand Up Paddle volant dédié au downwind. La vidéo est impressionnante.
Yohannes Wiebel et Franck Cammas ont passé le Cap Horn à bord d’un catamaran volant le 21 novembre 2015. Un passage et même une première mondiale qui venait clore une aventure exceptionnelle de deux semaines vécue par Yohannes, architecte allemand de 36 ans et grand gagnant de la Julbo Sail Session, depuis l’été 2015.
A l’occasion du Spi Ouest-France 2016, la Société Nautique de la Trinité-sur-Mer a réalisé une vidéo pédagogique à usage des régatiers. Vous y trouverez les conseils de Jimmy Pahun et Antoine Croyère concernant les aspects techniques et tactiques tels que les départs ou les passages de bouées sur de splendides images du dernier Challenge de (…)
Two years after his first attempt, Yannick Bestaven has made an exploit by winning the Transat 650 Charente Maritime Bahia by finishing first in both legs.
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Deux ans après sa première expérience, Yannick Bestaven a réussi l’exploit inégalé de remporte la Transat 650 Charente Maritime Bahia en s’imposant sur les deux étapes.
Le lundi 5 novembre, au chantier Multiplast de Vannes, débutera la construction d’un nouveau Class America français. Après un an et demi de travail réalisé par un Design Team regroupant douze experts du meilleur niveau mondial, le Défi pour l’America’s Cup 2003 se félicite de remplir à l’heure le planning fixé.
Olivier Desport a franchi la ligne à 13h13 TU (14h13 heure française) en tête des Séries. Coup double pour cet amateur très éclairé qui gagne, comme Bestaven chez les Protos, l’étape et la course. (Olivier n’a cependant pas remporté la première étape en Série qui a été gagnée par Michel Mirabel sur Discount Marine).
Nouvelle surprise au classement cumulé des deux étapes. S’il est déjà étonnant qu’un solitaire s’impose en remportant les deux manches de la Transat 650, un non Français vient de réaliser une excellente performance en s’adjugeant la deuxième place du podium.
“Dans le temps, au Québec, on avait la possibilité de donner à ses enfant un nom de famille différent. Ma mère, Dominique Manny, née en France, et mon père Carl Mailhot, on donc choisi de me donner le nom d’une rivière du grand Nord du Québec. Ils étaient partis là bas en 1968 pour faire une excursion en canot...”