Le capitaine de l’équipe de France prend la troisième place des championnats du monde juniors, dont la finale s’est disputée ce dimanche en fin de matinée sur le spot de Playa Jiquiliste, au Nicaragua. Kim Véteau (photo) est 5e chez les filles -16 ans, Elliot Ivarra 6e chez les -18 ans. La France termine ces Mondiaux juniors à la quatrième place au classement par équipes, soit le deuxième meilleur résultat de son histoire.
Andy Crière : « Je suis quand même content de mon podium. Je rêve de ça depuis tout petit. Ça fait quatre ans que je fais des championnats du monde, je n’avais jamais fait un tel résultat. C’est beau un podium ! J’ai pris deux vagues moyennes en début de série alors que mes trois adversaires ont eu de bonnes vagues. Puis après, il n’y a plus eu de vague… J’ai attendu jusqu’à la fin une bonne vague qui n’est jamais venue. Je suis content car je sais que mon surf est là. J’ai tenté des manœuvres aériennes et je suis tombé. Peut être n’ai-je pas cru en moi. Il me faut encore prendre confiance pour réaliser et réussir ce genre de manœuvres qui scorent beaucoup de points. Même si ce n’était pas facile d’en faire aujourd’hui avec le vent off shore. Je tiens à remercier ma famille, mes sponsors, le staff de l’équipe de France. C’était une semaine dingue. L’image que je vais retenir ? Ce podium et l’équipe ! »
Kim Véteau : « Je n’étais pas venue ici pour faire 5e… J’ai fait une bonne compétition car malgré mon élimination au 2e tour du tableau principal, j’ai fait tous les repêchages et je n’étais plus qu’à un tour de la grande finale. C’est décevant de s’arrêter si près du but. Mais je vais retirer le positif, voir ce qui n’a pas marché pour l’avenir. Ce qui m’a manqué dans ma série ? (Elle réfléchit). Je n’étais pas connecté avec l’océan. Je n’arrivais pas à trouver les vagues. Et mon surf n’a pas été assez bon pour espérer passer. Je suis pourtant partie avec zéro pression. Ce n’est pas de la malchance quand on n’arrive pas à poser ses manœuvres. C’est moi qui ai merdé… Il faut un sacré mental pour cette compétition. Ce n’était pas ma série, pas mes championnats du monde. Je vais m’en remettre. Je vais retenir ces 12 jours incroyables avec l’équipe de France. Nous, les Français, on n’est pas loin des meilleures nations, il nous manque quelques petites trucs. Personnellement, je vais essayer d’arranger tout ça pour les compétitions à venir. Si je suis sélectionnée de nouveau, ce ne sera pas pour faire une cinquième place mais pour aller en finale, toucher la première place et entendre la Marseillaise ! Je me suis améliorée par rapport à l’année dernière, donc, en 2014, je serai là pour le titre. Mon programme ? Je vais faire les Pro Juniors en Europe qui vont débuter dans quelques jours. Finalement, c’est un bon début cette 5e place pour la saison des Pro Juniors. Pour mon retour chez moi, en Guadeloupe, je ne sais pas, en septembre certainement, je verrai… En tout cas merci à toute ma famille et mes amis en Guadeloupe, ils ont été super ! Ils ont cru en moi, ils m’ont donné toutes leurs forces, je veux juste les remercier. C’était ma compétition mais c’était aussi la leur. »
Elliot Ivarra : « Franchement, je suis très fier d’être arrivé jusqu’à ce tour, même si j’ai perdu. Je suis content de moi. Je dis bravo à Andy qui, lui, n’est pas passé par les repêchages et qui nous a fait la finale. J’espère faire mieux la prochaine fois, je voulais gagner ce titre, mais quand même 6e, c’est pas mal pour mon premier championnat du monde. Ce qui m’a manqué ? Un manque d’expérience, je n’ai pas beaucoup d’expérience des grosses compétitions. J’en apprends tous les jours. Il m’a manqué un peu de chance aussi. J’en ai eu toute la semaine mais pas aujourd’hui (dimanche). J’aurais aussi pu essayer de varier mon surf et de tenter des manœuvres innovantes, comme les airs, pour espérer passer en finale. J’ai beaucoup surfé toute la semaine mais j’étais bien préparé, merci pour les entraînements dans le lac de Hossegor (Landes), ça m’a bien servi. Il fallait tenir le rythme, j’ai été à fond sur toutes mes séries, du début à la fin. J’étais prêt physiquement. Mon programme : continuer à m’entraîner physiquement et dans le surf, prendre des cours d’anglais et d’espagnol aussi (rires). Je ne sais pas quand je vais rentrer chez moi à St Barthélémy car je m’entraîne à Hossegor et c’est vraiment un bon endroit pour progresser. »
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Photos et commentaires : Elie Canivenc
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