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Alexandre Caizergues a battu, lundi, le record du Monde de vitesse en Kitesurf sur 500 mètres avec une moyenne de 56,62 nœuds sur la « Volkswagen Transporter Arena » du « Salt and Speed » située à Salin-de-Giraud. Il améliore de 0,97 nœuds le record de l’américain Rob Douglas. Le rider provençal entre, à nouveau, dans l’histoire de son sport et des records de vitesse à la voile.
« Je suis ravi. C’est génial, c’est exceptionnel » déclare Alex Caizergues. « Nous validons les capacités de notre spot et du « Salt and Speed ». Nous savions depuis un moment que cela pouvait passer, que nous pouvions aller très vite. Dans un vent de Nord qui soufflait entre 45 et 50 nœuds, j’ai effectué au moins 15 runs et j’étais à chaque fois au dessus des 50 nœuds. J’ai profité d’une bonne rafale pour accélérer. C’est une grande satisfaction. Tout est ouvert sur les Salins pour encore aller plus vite. L’équipe du « Salt and Speed » a réalisé un remarquable travail dans des conditions difficiles, merci à tout le monde. Rob Douglas avait choisi de faire l’impasse sur le début de cette tentative. Je l’attends avec impatience dès le prochain coup de vent ».
Les mots ne suffisent pas pour exprimer la performance d’Alex Caizergues en ce 11 novembre. Avec une vitesse moyenne de 56,62 nœuds sur le spot situé dans les salins de Salin-de-Giraud, Alex frappe très fort et redevient le kitesurfer le plus rapide de la planète après notamment avoir été le premier homme à avoir franchi la barre mythique des 100km/h en 2010.
Christophe Simian, observateur du WSSRC, World Sailing Speed Record Council, était sur place. Ce record est maintenant en attente de validation définitive par l’organisme.
Après un weekend déjà exceptionnel pour l’Équipe de France de Voile Olympique, avec le titre mondial de Louise Cervera en ILCA 6 et la médaille de bronze de Matisse Paucaud et Lucie de Gennes au Championnat d’Europe de 470, les kitesurfeuses tricolores ont conclu en beauté cette première salve de championnats internationaux. De retour sur l’eau (…)
Le championnat de France de kitefoil s’est disputé à La Franqui (Leucate) la semaine dernière en même temps que ceux de wingfoil pour des catégories allant des moins de 17 ans en ailes à boudin aux Open et Masters en ailes à caisson.
Après 4 jours de courses, c’est aujourd’hui le dernier jour de compétition pour certaines séries à Leucate - La Franqui. Avec notamment les jeunes Espoirs en Kitefoil et en Wingfoil Slalom-Race qui ont profité d’un bel après-midi venté pour conclure les dernières courses et phases finales. Six titres de Champion et Championne de France seront (…)
Le rideau est tombé sur l’édition 2024 de l’ENGIE Kite Tour ce week-end à La Grande-Motte, où s’est joué le dénouement de la saison. Après quatre étapes – Fréjus, Lorient – Larmor-Plage, le Touquet – Paris-Plage et La Grande-Motte -, les vainqueurs sont Paul Labordère et Zoé Boutang en Kitefoil ; Samuel Michaille et Aude Ournac en Twin-Tip (…)
Les Français avaient décroché le bronze pour le premier jour des Finales avec Sarah Steyaert et Charline Picon en 49er. Pour le dernier jour de compétition de Voile à Marseille, Lauriane Nolot a offert une deuxième médaille, en argent, à la délégation française après une phase finale haletante, pour la première du Kitesurf aux Jeux Olympiques.
C’est ce qui s’appelle marquer les esprits au meilleur des moments. A tout juste un peu plus de deux mois des Jeux Olympiques Lauriane Nolot est devenue double championne du Monde de Kitefoil, chez elle à Hyères, quelques mois seulement après son titre de Championne d’Europe. La tenante du titre signe aujourd’hui un doublé Monde-Europe, une (…)
Le Néo Zélandais, vainqueur de la Whitbread, deuxième détenteur du trophée Jules Vernes et double vainqueur de la Coupe de l’America aurait été assassiné ce matin en Amazonie.
La maquette du nouveau monotype. Photos : Ch.Guigueno
Le nouveau Figaro Bénéteau serait-il déjà un succès ? La classe Figaro Bénéteau reconnaît comptabiliser entre 20 et 25 intentions d’achat. Le chantier Bénéteau qui a promis de construire 50 bateaux en un an remplit son carnet de commandes.
Après une saison record dont la principale épreuve était la Transat Jacques Vabre en double, Franck Cammas et Alain Gautier ont terminé au coude à coude. Chacun marque 78 points sur la saison mais c’est le skipper de Groupama qui s’impose grâce à sa victoire dans la transatlantique.
Onze skippers sont classés (Joyon, Duprey et Richards n’ont (…)
Le premier Open 570 exposé à la Porte de Versailles. Déjà dix commandes. Photo : Ch.Guigueno
Les chiffres sont inversés mais le concept reste le même. Une raison à cela, le papa des deux quillards moderne n’est autre que le Groupe Finot. “Finot a déposé la marque Open” précise, un brin énervé, Bruno Hervouet, le patron du chantier Phileas qui construit cette version assagie de la bête en série.
Laurent Brossat devant le Fun Power exposé au salon nautique de Paris. Photo : Ch.Guigueno
La carène possède un air d’Europe. Laurent Brossat, son architecte et constructeur, avoue justement être un ancien régatier de cette série. Il a aussi navigué en Laser et s’est inspiré des skiffs, les 18 pieds australiens, pour dessiner un dériveur en solitaire de la nouvelle génération.
L’Australienne Layne Beachley vient de remporter son quatrième titre mondial consécutif en se qualifiant pour les quarts de finale du Billabong Pro Maui. Sa compatriote Neridah Falconer s’adjuge de son côté l’épreuve en battant en finale Pauline Menczer.
Australian Layne Beachley today reached an ’Everest’ of a career goal by equaling the previous record set of four consecutive world titles by claiming her fourth at the Billabong Pro Maui, the final women’s World Championship Tour (WCT) of 2001. Neridah Falconer, meanwhile, achieved her own milestone this afternoon by defeating 1993 world (…)
illbruck arrive à Sydney à 2 heures GMT ce matin. Photo : Daniel Forster / illbruck
En franchissant en vainqueur, à 01h 22 (heure française – 11h 22 heure locale) la ligne d’arrivée de la seconde étape Cape Town – Sydney, illbruck signait une magnifique victoire, arrachée aux différentes fortunes de mer qui ont éprouvé l’équipage battant pavillon allemand depuis le début de cette manche de 6 550 milles. Les ennuis de illbruck (…)