Le jeune Léo-Paul Etienne (15 ans) est devenu champion du monde U16 ce dimanche à Salinas (Equateur). Kim Véteau prend, elle, la deuxième place chez les filles en U18.
Au classement général, la France décroche la médaille d’argent par nations derrière Hawaii mais devant l’Australie (3e) et les Etats-Unis (4e). Le meilleur résultat de son histoire.
Tatiana Weston-Webb, déjà vainqueur l’an dernier au Nicaragua, a conservé sa couronne mondiale en survolant la finale. En deux vagues, 9.83 + 8.33 pts, elle a éclipsé ses trois adversaires. Longtemps dernière de la série, Véteau s’est réveillée dans les dix dernières minutes pour repasser à la deuxième place. Un effort considérable pour celle qui aura passé trois séries et plus d’une heure dans l’eau ce dimanche matin. Sans doute a-t-elle d’ailleurs payé ses efforts alors qu’elle aurait pu se qualifier directement pour la grande finale et ne pas passer par les repêchages.
La Guadeloupéenne promet l’or en 2015
Un jugement aléatoire, un centième de point (6,10 pour une vague alors qu’un 6,11 la qualifiait), et Kim Véteau, est repartie au combat au lieu de se reposer. Elle a ensuite souffert en finale. En trois participations aux Mondiaux juniors de l’ISA, la jeune femme (17 ans) atteint toutefois sa première finale alors qu’elle avait toujours buté avant (5e l’an dernier). Cette médaille d’argent lui a donné le sourire et lui permet de croire en ses chances pour 2015. Car c’est promis, Kim reviendra avec un seul et unique objectif : le titre mondial.
Le titre d’Etienne et la deuxième place de Véteau ont bousculé la hiérarchie et fait basculer l’équipe de France dans une autre dimension. Après avoir fait le yo-yo tout au long de la semaine au classement des nations, la France est passée de la 4e place dimanche matin à la deuxième au final !
La Grande Exposition du Fabriqué en France a sélectionné la planche de surf de Shapers Club pour représenter l’excellence artisanale de la Charente-Maritime au Palais de l’Élysée les 19 et 20 octobre 2024. Shapers Club, fabricant de planches de surf haut de gamme basé à Marennes, est fier d’annoncer sa sélection en tant qu’unique représentant (…)
Avec un taux de surfeurs parmi les plus élevés de la planète, la Suisse, pays sans accès à la mer prouve que la passion du surf n’a pas de limite. Et la déferlante ne fait que commencer...
Depuis le 30 octobre, nous sommes, comme une immense majorité des amoureux des vagues, privés de la glisse sur l’eau. Privés de notre passion. Mobilisée comme lors du premier confinement, la Fédération Française de Surf est totalement impliquée et travaille, en étroite collaboration avec les représentants de l’État et les Fédérations du (…)
Le Calédonien Titouan Puyo (29 ans) et l’Agenaise Fanny Tessier (32 ans) ont remporté la longue distance de 18km des championnats de France Dacia de Stand Up Paddle, ce dimanche à Annecy/Talloires (Haute Savoie).
Avec quatre finalistes et les titres de vice-champions du monde d’Eric Dargent et de Philippe Naud, les Bleus terminent à la 5e place des 2020 AmpSurf ISA World Para Surfing Championships, qui se sont achevés samedi à San Diego (Etats-Unis). Un classement identique à celui de l’an dernier.
Le conseil d’administration du COJO, qui réunissait toutes les parties prenantes des Jeux de 2024 (COJO, CIO, Etat, collectivités, mouvement sportif) a décidé, ce jeudi, de retenir Tahiti comme site hôte des épreuves de surf pour les Jeux de Paris 2024 (26 juillet - 11 août). Ce choix doit maintenant être validé par la Commission Exécutive du (…)
Charles Caudrelier-Bénac, le vainqueur du jour. Photo : G.Martin-Raget
Deuxième journée de course autour de l’île de Porquerolles pour les 23 concurrents de la Generali Méditerranée. Au programme du jour, le traditionnel déjeuner Bénéteau sur l’île de Port-Cros et une course de 20 milles pour rallier leur port de départ en passant par le sud de l’île.
Départ tambour battant pour cette 4e étape de l’EUROCORSICA RACE. Le vent soufflait à la force 3/4 avec des rafales au départ de Porto-Vecchio. Les 20 équipages se sont élancés sous spi à la conquête des Bouches de Bonifacio. Le Golfe de Porto-Vecchio a été le théâtre d’empoignades somptueuses. Les concurrents sous spi au double trapèze ont (…)
The Tour de France à la Voile 2002 is about to start. The 40 Mumm 30’s are lining up in the marina of Dunkerque-Dunes de Flandres. The measurements have been done over the last few days. The crews are now sorting out the last details in order to be ready for Friday’s prologue.
The prologue is a non point scoring race that gives a chance to (…)
L’Usam Voile de Brest organise du 10 au 13 juillet 2002, le National 505, en partenariat avec la Ville de Brest et la Classe 505 France, avec le soutien du Conseil général du Finistère.
C’est en Belgique que se disputera la 3e épreuve de la saison du Championnat 9 TELECOM, du 11 au 14 juillet. Le Port de Zeebrugge accueillera cette année une flotte de 10 trimarans dont deux neufs : Géant (Michel Desjoyeaux) et Gitana X (Lionel Lemonchois), mis à l’eau à la fin du mois de juin.
Pour leur première journée de course à Porquerolles, les 23 concurrents engagés dans la 13e Generali Méditerranée ont disputé deux courses dans les eaux de l’île varoise. Eric Drouglazet, heureux papa d’un petit garçon depuis deux jours, l’avait promis : « pour Hugo, je vais gagner les deux manches du jour ! ».
Dans le chantier naval FR Nautisme de François Robert, Eric Corazza construit un plan Rolland de 43 pieds. Il s’agit d’un sister-ship de Zébulon, le bateau de course de Jean-Luc Sévenou.
Le vent était au rendez-vous de cette troisième étape, les concurrents aiguisés par les résultats des manches précédentes ont obligé le comité de course à faire 2 rappels généraux pour le départ.
A moins d’un mois de l’arrivée des premiers bateaux, la pression monte sur les quais du port de la Cité du Ponant. Du 13 au 16 juillet, 52 voiliers envahiront les quais de la Penfeld et du port de Commerce pour prendre le départ de la Course Cutty Sark des Grands Voiliers. Mais dès le 11 juillet, des bateaux traditionnels et les bateaux des (…)
La canicule qui sévit en Corse s’accompagne d’un manque de vent préjudiciable aux records de vitesse. Le départ a été donné devant la ville de Bastia. Le peu de vent qui soufflait sur le plan d’eau venant exactement de l’endroit où la flotte devait se rendre.