Caroline Angibaud et Antoine Delpero ont tous les deux terminé à la quatrième place des finale dames et messieurs des championnats du monde de SUP surf, vendredi à Sayulita. Champion du monde en titre, le Polynésien Poenaki Raioha ramène la médaille d’argent à l’équipe de Tahiti. Les Etats-Unis enlèvent leur troisième et quatrième médailles d’or avec Izzi Gomez (dames) et Sean Poynter (messieurs), lequel décroche un deuxième titre après celui de 2013.
Caroline Angibaud : « J’aurais préféré que la finale ne dure que 20 minutes, car les cinq dernières auront été la dégringolade pour moi. Je pensais que c’était ma journée. Sans doute étais-je fatiguée en fin de parcours. Bizarrement, je ne suis presque pas déçue. L’an dernier, je n’avais pas bien surfé et j’avais terminé deuxième. Je suis contente de mon surf, je préfère surfer comme ça que surfer « à plat » (sans surfer sur le rail de la planche, ndlr) et avoir des résultats. »
Antoine Delpero : « C’était une finale assez compliquée dans le sens où les conditions n’étaient pas terribles, le spot avait pris beaucoup de vent et les vagues étaient désordonnées. J’ai pêché sur le choix de vague. L’Américain pointé avait bien débuté. Je pensais avoir eu de bonnes vagues mais mes scores n’ont pas dépassé les 4 points. Quand on arrive en finale, on se dit qu’on est là pour gagner. Une finale, ça se gagne. Le premier repart avec la médaille d’or. Deuxième, troisième ou quatrième, c’est pareil. Je suis un peu déçu mais je n’ai pas de regrets. Dans ces conditions, il y en a toujours un qui arrive à tirer son épingle du jeu. J’ai donné le meilleur de mi même. Je suis content de ça. Et content et fier de l’équipe de France. On a bien représenté l’équipe de France à l’international. C’est ce que je retiens. »
Jérémy Massière : « Je suis quand même arrivé au dernier jour de compétition. Je termine dans le Top 10. Même si j’avais vraiment envie d’aller jusqu’au bout. Ça se joue à pas grand-chose. J’ai peut être été chamboulé parce que j’ai cassé les deux dérives de ma meilleure planche. Je voulais bien faire pour l’équipe, car on a du monde derrière nous. Quant on est sélectionné en équipe de France, on se doit de bien faire. J’espère avoir une nouvelle occasion de le démontrer. »
En 2022 , Coasto, la marque de loisirs nautiques française, introduit dans sa collection un paddle gonflable avec moteur électrique. Avec l’e-motion, les côtes les plus lointaines deviennent accessibles : partez à la découverte de côtes inexplorées, avec facilité, simplicité et sécurité.
Le Nautic Paddle est non seulement la plus grande épreuve au monde sur un fleuve et dans une capitale mais également l’une des courses les plus originales, avec 1 000 concurrents de 42 nationalités sur la ligne de départ ce dimanche 5 décembre à Paris.
Initialement programmé pour les 13 et 14 juin 2020, le SNSM Morbihan Paddle Trophy a été envisagé par les organisateurs pour la fin septembre mais les conditions n’ont pu être réunies. La mise en œuvre d’un tel événement demande en effet d’avoir la certitude, vis-à-vis des partenaires comme des participants eux-mêmes, de ne pas devoir renoncer (…)
Près de 200 paddleurs, dont de nombreux sauveteurs bénévoles venus de toute la France, ont participé ce vendredi 28 juin au MILLE SNSM Paddle Trophy. À la veille de la journée Portes Ouvertes organisée dans les 250 stations et CFI de la SNSM, ils ont pagayé en plein cœur de la capitale, du Pont des Arts (6e arr.) au Pont de Grenelle (15e arr.), (…)
La 9e édition de la Nautic Paddle s’est déroulée dimanche matin. Pour l’occasion, pas moins de 800 coureurs s’étaient donné rendez-vous, faisant sans conteste de la manifestation le plus grand rassemblement mondial de la discipline, par ailleurs estampillé dernière étape de la Coupe du Monde APP 2018.
Olivia Piana (27 ans) est devenue championne du monde de Stand Up Paddle pour la première fois de sa carrière, ce samedi, en Chine. Après ses cinq médailles d’argent aux Mondiaux de l’International Surfing Association, la Française est, enfin, couronnée sur la longue distance (18 km).
La jauge Mini pourrait évoluer dans les prochaines années. En dehors du débat sur l’autorisation des mâts en carbone dans la division Prototypes, s’est aussi posée lors de la dernière assemblée générale la question sur les bout-dehors en Série. Les membres de la classe se sont, là encore, positionné en faveur d’une réflexion plus approfondie. (…)
In the french version of SeaSailSurf.com, you can read Sébastien Magnen, Pierre Rolland, Ollivier Bordeau and Denis Glehen’s answers about the possible change in the prototype division of the mini 650 class rules. This time, it is to Leo Voornevelt to answer to thoses question.
Leo followed the last Transat 650 Charente Maritime Bahia. As (…)
Un deuxième défi français pour la coupe de l’America ! Est-ce vraiment possible alors que le team actuel, Le Défi peine à trouver un budget pour rejoindre Auckland ? C’est en tout cas ce que pensent les Kandler père et fils. Appuyés sur leur société K-Yachting, ils lancent K-Challenge. Un cas à part dans l’histoire de la Coupe en France.
Le jeune Anglais Alex Bennett convoyait le monocoque jaune ex-Aqua Quorum quand il a été contraint d’abandonner son bord après que le système hydraulique qui fait pivoter la quille ait donné de graves signes de faiblesse.
14th December 2001, 29 26 09’ N 26 03 49’ W : At 23.00 GMT Alex Bennett, 25-year-old solo yachtsman, abandoned his Open 50 racing yacht ‘One Dream One Mission’ to the elements.
Like the other skippers of Open 60 monohulls, the American sailor Bruce Schwab has done his inversion test for his new Ocean Planet. An important moment for the skipper :
Après Sébastien Magnen et Pierre Rolland, deux architectes navals, Ollivier Bordeau, un constructeur, voici l’avis d’un spécialistes des calculs de structures. Denis Gléhen est responsable des calculs chez HDS (Hervé Devaux Structures) à Brest. Il a travaillé sur les études de Club Med, de différents trimarans de 60 pieds et dernièrement de (…)
Une bonne prise sur le pont de Sill Plein Fruit. Photo : G. Le Cléac’h
Trois monocoques sont actuellement en convoyage retour vers la France. D’un côté, Sill Plein Fruit, l’Open 60 victorieux de la Transat Jacques Vabre rentre aux mains de Gaël Le Cléac’h et son équipage, accompagné par celui de Dominique Wavre. D’un autre, Adrien, le monocoque ‘no limit’ de 25 mètres de Jean-Luc Van Den Heede, qui poursuit sa (…)
Le patron du chantier naval Latitude 48°24’ répond, à son tour et sur le ton de l’humour, sur l’opportunité d’ouvrir la jauge des 650 prototypes aux tubes en carbone.
Grant Dalton doit maudire la rafale de 45 nœuds qui a couché Amer Sports One la veille de son arrivée à Sydney. Projeté à l’intérieur du bateau dans une chute magistrale, alors qu’il était entrain de cuisiner (fait exceptionnel), Dalton souffre de deux côtes cassées ainsi que de plusieurs fractures aux vertèbres qui pourraient l’empêcher de (…)