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La septième journée de cette 36e édition de la Coupe de l’America a sacré Emirates Team New Zealand. L’équipe détentrice du plus vieux trophée sportif du monde a conservé son bien face aux Italiens de Luna Rossa Prada Pirelli. La Cup reste en Nouvelle Zélande.
J3 • NZL 3 : 3 ITA : le vainqueur du départ s’impose
Cette Coupe de l’America génération monocoques volants se dispute façon tie-break d’un match de tennis. Et après cette troisième journée de régates, ni le Defender, ni le Challenger n’ont pris le service de l’adversaire. Avec trois victoires chacun, Néo-Zélandais et Italiens sont toujours dans le match pour garder ou gagner l’aiguière d’argent.
Encore une fois, l’équipage qui a franchi en premier la ligne de départ s’est imposé, plus ou moins largement. Lors de la première manche du jour, l’équipe de Peter Burling s’est collée au plan d’eau avant la ligne, laissant celle de Spithill et Bruni prendre le contrôle du côté gauche du plan d’eau et maintenir son avance de bout en bout.
Le jeu s’est inversé dans la deuxième manche avec des Italiens bloqués avant la ligne et laissant les Kiwis s’échapper avec une très large avance. La leçon de ce début de 36e Coupe de l’America est donc qu’il ne faut pas se rater au départ sinon la sanction est irrémédiable.
Pour les spectateurs scotchés devant leur télé ou écrans d’ordinateur ou pour celles et ceux embarqués sur les 1500 bateaux amarrés autour de la zone de régate, un peu plus de régate avec des changements de leaders serait le bien venu. Pour cela, il semble qu’il faudrait un vent plus instable sur le plan d’eau afin de redistribuer les cartes au fur et à mesure que les monofoilers enroulent les bouées.
Les régates 7 et 8 doivent avoir lieu demain même si les conditions météo semblent annoncer du vent encore plus faire que les 8-10 noeuds d’aujourd’hui.
Le Protocol prévisionnel publié par le Defender Emirates Team New Zealand le 23 mai dernier, fruit de discussions impliquant toutes les équipes, marque différentes avancées que nous soutenons.
Lorsqu’en avril dernier, Alinghi Red Bull Racing a décidé de ne pas participer à la 38e America’s Cup, c’était en raison de sérieuses préoccupations concernant l’administration et la gouvernance de l’America’s Cup par le tenant du titre, Team New Zealand.
Le plus vieux trophée sportif du monde ne déroge pas à sa maxime établie il y a plus de 170 ans, « il n’y a pas de second ». Et donc, qu’un seul vainqueur. Ce vainqueur étant, pour la 3e fois consécutive - la 5e au total - le Royal New Zealand Yacht Squadron. Le club et son équipe, Emirates Team New Zealand, sont les grands gagnants de cette (…)
La Coupe de l’America ? A la fin, ce sont encore les Kiwis qui gagnent ! La 9e manche aura été la dernière régate disputée sur le plan d’eau de Barcelone. Les Néo-Zélandais ont écrasé leur concurrent. Un premier tour avec une avance bâtie avec facilité face aux Anglais. Trop facile même, au point que le Defender en perd son match-race et laisse (…)
Comment dit-on « there is no second » en italien ? La sélection du Challenger qui affrontera les Néo-Zélandais dans quelques jour pour la 37e édition du plus vieux trophée sportif du monde est terminée. Et ce sont les surprenants Anglais qui se sont imposés au terme d’une Louis Vuitton Cup pour laquelle il n’y a qu’un vainqueur. Les Italiens (…)
Le plus vieux Trophée sportif au monde, l’America’s Cup, sait se renouveler, innover sur chaque édition, et pas seulement au niveau technologique. En 2013, les Américains ouvraient la compétition aux jeunes générations en créant la première Youth America’s Cup dédiée aux marins âgés entre 18 et 25 ans ; les Néo-Zélandais ont conservé cette (…)
The champagne bottles are opened at the base in Viaduct Harbour in Auckland. Magnus Holmberg, helmsman in Victory Challenge, has at this moment received the message that he and his colleagues Stefan Rahm, Lars Linger and Magnus Augustson are appointed the Sailors of the Year 2001. The Swedish America‚s Cup-challenge’s whole crew is present and (…)
Franck à Saint Malo avant le départ du rhum 1998. Photo : Ch.Guigueno
Le skipper du trimaran Groupama est parmi les favoris de la prochaine Route du Rhum. Vainqueur de la Transat Jacques Vabre en double, son trimaran de 1998 devra lutter face à une nouvelle génération de machines transocéaniques.
Pour sa première épreuve de la saison, l’équipage francilien emmené par Jimmy Pahun et Laurent Pagès a terminé à la 7e place (sur 79 inscrits) du Championnat du Monde de Melges 24 couru à Key West (USA).
With a score line that included five bullets Italian Flavio Favini won the 2001 Melges 24 World Championship in true style after the final day of racing eventually had to be cancelled due to lack of wind. Although disappointed that no more racing was possible the fleet were in full agreement with the Race Committee’s decision that sailing in (…)
Arrivée de Bilou aux Sables d’Olonne. Photo : Ch.Guigueno
L’IMOCA, classe grandissante, a décerné jeudi 24 janvier le titre de champion du monde 60 pieds Open à Roland Jourdain. Thierry Dubois prend la suite de Christophe Auguin à la présidence de l’association.
Les étudiants de l’ENST Bretagne et de l’ENSIETA, soutenus par la Ville de Brest et leurs écoles, tentent de mener un projet en commun pour participer au prochain Tour de France à la Voile.
If you’ve ever wanted to watch a master class in Melges 24 sailing today was the day to be out on the water. Italian Flavio Favini and his Swiss team, headed by owner Franco Rossini, led the fleet from start to finish in all three races taking him into a comfortable lead.
Les skippers réunis devant le YC de France. Photo : Ch.Guigueno
Voici la nouvelle course océanique réservée aux seuls monocoques IMOCA : La Regata de Rubicon. L’épreuve est organisée par Gérard Petitpas, déjà organisateur de la Transat Jacques Vabre, et reprend le principe du Challenge Mondial Assistance des multicoques en 2001.
"Nous allons réduire la voilure dans nos partenariats avec les équipes de Saint Étienne et de Limoge". Daniel Sicard, directeur général des hypermarchés Géant, avoue ne rien connaître à la voile, mais il en a bien compris les termes. Au détriment des footballeurs et basketteurs, éloignés de la philosophie du groupe.