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Championnats du Monde de surf

L’équipe de France se déplace en Afrique du Sud

vendredi 17 mai 2002

Mardi 21 mai, une solide équipe de France de surf Surf #Surf s’envolera pour l’Afrique du Sud avec la ferme intention de rivaliser avec les meilleurs surfeurs de la planète, et remporter les 7 titres individuels mis en jeu Jeu #jeu et placer la France dans le top 5 des meilleurs nations « surfiques » .

En effet, 40 nations et plus de 600 compétiteurs ont confirmé leur participation à ce grand rendez-vous du surf Surf #Surf mondial organisé tous les deux ans sous l’égide de la fédération internationale (International Surfing Association, membre du CIO) Si le Brésil, l’Australie, Hawaii, les Etats-Unis et l’Afrique du Sud partent favoris, ils devront se méfier de nations émergeantes au plus haut-niveau comme la Nouvelle-Zélande, le Japon, l’Espagne et bien entendu la France. Sur le papier, les compétiteurs français ont le niveau technique d’accéder à toutes les finales, mais la partie sera difficile et leur laissera peu de droit à l’erreur compte tenu de l’élévation du niveau du surf Surf #Surf mondial, et du nombre de compétiteurs en course. Composée des compétiteurs issus de la formation dans les clubs et engagés sur les circuits professionnels, l’équipe de France dispose d’atouts indéniables.

En surf open, il faudra notamment compter sur les français Micky Picon actuellement 2e du circuit professionnel (WQS), Eric Rebière vice-Champion d’Europe, Frédéric Robin vice-Champion du Monde et Patrick Beven vice-champion de France. En ondine, Emmanuelle Joly et Marie-Pierre Abgrall ont démontré à plusieurs reprises qu’elles pouvaient frapper à la porte d’une demi-finale ou d’une finale.

En bodyboard Bodyboard #Bodyboard Open, le mimizanais Nicolas Capdeville qui vient de signer une double victoire consécutive au japon et au Maroc a pris la tête du circuit professionnel, fait figure de favori, mais il devra se méfier de son voisin de palier, le jeune et talentueux Cédric Dufaure. Côté femme, la guadeloupéenne Eloise Bourroux vise une place de finaliste et un titre à sa portée.

En longboard Longboard #Longboard , l’Angloye Jonathan Larcher connaît bien la plupart de ses adversaires qu’il affronte sur le circuit professionnel. Compétiteur de tempérament, il est capable de bousculer une hiérarchie mondiale un peu installée.

En kneebord, le champion d’Europe Philippe Alonso viendra chercher une place de finaliste dans une discipline (surf à genou) peu pratiquée en France et dominée par les Australiens, américains et brésiliens.

En surf juniors, tous les regards se porteront sur le jeune réunionnais Jérémy Florès dont le surf rappelle celui au même âge (14 ans) d’un certain Kelly Slater , consacré quelques années plus tard champion du monde. Mais son frêle gabarit ne sera pas forcément un avantage contre des juniors physiquement plus matures et dans des vagues généralement puissantes à cette période de l’année. Il sera accompagné dans sa catégorie par les trois juniors français issus du pôle France de Bayonne, le landais Jérémy Massière et les basques Romain Laulhé et Loïc Erran.

En coulisse des championnats du Monde, l’assemblée générale extraordinaire élira un nouveau président au sein de la fédération internationale. Cette sage assemblée devra également se prononcer sur la candidature de la France à l’organisation Organisation #organisation des Championnats du Monde 2004, en concurrence avec l’Australie, Porto Rico, le Venezuela, les Philippines et Tahiti. Pour toute information sur les Championnats du Monde :

Information FFS

Sites : http://www.wsg2002.co.za et http://www.isasurf.org



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