En juillet dernier, Malik Joyeux freesurfer [3] pro réalise une première mondiale en surfant en tow-Kite [4] la vague légendaire de Teahupoo.
Tracté par son frère Teiva en Kite-surf, Malik se fait déposer dans le creux d’une des vagues les plus dangereuses de la planète. Au moment le plus critique, ce dernier lâche le palonnier pour glisser sur ce monstre liquide et en ressortir quelques secondes plus tard. Malik et Teiva sont les premiers à tenter et réussir à combiner ces deux sports pour dompter les plus grosses vagues du globe.
Habituellement, les surfers utilisent un jet-ski pour surfer ces vagues géantes. Cette première permet de pouvoir aller surfer des houles où il serait impossible d’emmener des JetSkis ou d’autres moyens logistiques.
Malik Joyeux est un surfer tahitien de 23 ans reconnu pour ses exploits sur les vagues les plus dangereuses de la planète. En 2003 il surfe la plus grosse jamais prise à Tahiti. Après Laird Hamilton en 2000, il entre donc à 21 ans dans la légende en domptant ce jour là Teahupoo.
Aujourd’hui, avec ce nouvel exploit, il écrit en compagnie de son frère une nouvelle page de l’histoire des vagues géantes en repoussant toujours les limites.
– Deuxièmement, avoir un copain kitesurfer de bon niveau
Là c’est encore mieux qu’un pote, c’est Malik et son frère Teiva
– Ensuite, il faut qu’il y ait suffisamment de vent. Le kitesurfer fixe un palonnier autour de sa taille et le surfer empoigne l’autre extrémité.
– Et voilà, Il suffisait d’y penser !
– Il est quand même recommandé d’avoir un jet ski à l’arrivée pour récupérer le surfer, surtout à Teahupoo.
[1] Freesurfer : Surfer ayant pour unique objectif de trouver « la vague » parfaite, aujourd’hui ces surfers repoussent toujours les limites pour les surfer les plus grosses vagues de nos océans.
[2] Tow-kite : Mot inventé pour l’occasion, il s’agit d’un surfer en surf tow-in qui se fait tracter par un kitesurf. En général le surfer tow-in est tracté par un jet ski qui le dépose dans la vague
[3] Freesurfer : Surfer ayant pour unique objectif de trouver « la vague » parfaite, aujourd’hui ces surfers repoussent toujours les limites pour les surfer les plus grosses vagues de nos océans.
[4] Tow-kite : Mot inventé pour l’occasion, il s’agit d’un surfer en surf tow-in qui se fait tracter par un kitesurf. En général le surfer tow-in est tracté par un jet ski qui le dépose dans la vague
La Grande Exposition du Fabriqué en France a sélectionné la planche de surf de Shapers Club pour représenter l’excellence artisanale de la Charente-Maritime au Palais de l’Élysée les 19 et 20 octobre 2024. Shapers Club, fabricant de planches de surf haut de gamme basé à Marennes, est fier d’annoncer sa sélection en tant qu’unique représentant (…)
Avec un taux de surfeurs parmi les plus élevés de la planète, la Suisse, pays sans accès à la mer prouve que la passion du surf n’a pas de limite. Et la déferlante ne fait que commencer...
Depuis le 30 octobre, nous sommes, comme une immense majorité des amoureux des vagues, privés de la glisse sur l’eau. Privés de notre passion. Mobilisée comme lors du premier confinement, la Fédération Française de Surf est totalement impliquée et travaille, en étroite collaboration avec les représentants de l’État et les Fédérations du (…)
Le Calédonien Titouan Puyo (29 ans) et l’Agenaise Fanny Tessier (32 ans) ont remporté la longue distance de 18km des championnats de France Dacia de Stand Up Paddle, ce dimanche à Annecy/Talloires (Haute Savoie).
Avec quatre finalistes et les titres de vice-champions du monde d’Eric Dargent et de Philippe Naud, les Bleus terminent à la 5e place des 2020 AmpSurf ISA World Para Surfing Championships, qui se sont achevés samedi à San Diego (Etats-Unis). Un classement identique à celui de l’an dernier.
Le conseil d’administration du COJO, qui réunissait toutes les parties prenantes des Jeux de 2024 (COJO, CIO, Etat, collectivités, mouvement sportif) a décidé, ce jeudi, de retenir Tahiti comme site hôte des épreuves de surf pour les Jeux de Paris 2024 (26 juillet - 11 août). Ce choix doit maintenant être validé par la Commission Exécutive du (…)
Slowed 80 miles from the equator, the maxi catamaran Orange leaves Peter Blake with the reference time between Ushant and the equator. Peyron and his crew have used up the semblance of a trade wind which had been propelling them onwards since the Cape Verde Islands. Today the North Atlantic is giving them a slight rest before they move into the (…)
Opération centrage des poids à bord d’Orange. Photo JB Epron.
Ralenti à 80 milles de l’équateur, le maxi catamaran Orange laisse à Peter Blake le temps référence entre Ouessant et l’équateur. Peyron et ses hommes ont essoufflé le semblant d’alizé qui les propulse depuis les îles du Cap Vert. L’Atlantique Nord leur offre aujourd’hui une pause avant le passage dans l’hémisphère austral et ses régimes d’Est (…)
In the searing heat of Rio de Janeiro, Lisa McDonald, the skipper of Amer Sports Too, made a last minute change to her crew for leg five of the Volvo Ocean Race. Bridget Suckling, one of the two crew working the bow, was already onboard the boat and intending to race, but medics recommended that she should stay ashore to recover from (…)
Photo reportage de Bernard Gergaud qui a visité le chantier Gamelin pour suivre la fin des travaux sur Adrien. Ci dessous : le nouveau puits de quille et la coque en aluminium dans le chantier.
Jean Luc Van Den Heede est un homme heureux ! Depuis sa tentative avortée de tour du monde contre vents et courants, à cause d’un problème de puit de quille, le skipper d’Amiens n’a pas vraiment pris le temps de souffler.
Parti depuis 10 jours de Schredny en Sibérie, Mike Horn lutte toujours face à des éléments qui lui sont désormais familiers : le froid, le vent, la glace et l’eau. Dur au mal, l’aventurier n’en souffre pas moins, le visage partiellement gelé et la progression rendue actuellement impossible par un vent de Nord très fort.
The waiting is over ! The PWA wave tour is all set to begin a new season in Vargas, Gran Canaria. Commencing on the 8th of April the worlds elite wave sailors from both men’s and woman’s divisions will battle it out in the wild winds of Gran Canaria for the 65,000 Euro prize purse. The prevailing wind conditions could be anything from 20-50 (…)
While it has been a wildly popular Easter Weekend racing tradition for 28 years, the International Rolex Regatta has just become the island of St. Thomas’s hottest social ticket as well.
24 hours to cover 415 miles and inscribe the name of Orange in place of Enza and Sir Peter Blake on the Ushant-Equator record ; Almost a formality anywhere else on the globe for a new generation maxi-catamaran. But a bit of a challenge when approaching the land of darkness, the Doldrums, the nightmare of mariners of yore. Tomorrow at 1236, the (…)
24 heures pour couvrir 415 milles et inscrire le nom d’Orange en lieu et place d’Enza et Peter Blake sur la distance Ouessant-Equateur ; une quasi formalité en tout autre endroit du globe pour un maxi-catamaran nouvelle génération. Une gageure à l’approche du pays de l’ombre, le pot au noir, cauchemar des marines d’antan. Demain 12 heures 36, (…)