La cinquième étape de la 11e édition de la Volvo Ocean Race, entre la Nouvelle-Zélande et le Brésil, a connu le plus important nombre d’avaries au sein de la flotte à ce jour. Après un parcours de 6700 milles, un seul bateau - PUMA Ocean Racing - est arrivé indemne.
Qu’en pense Mike Sanderson, le skipper de Team Sanya ?
L’équipage a dû rebrousser chemin quelques jours après le départ d’Auckland. Le bateau du team chinois est le seul qui ne soit pas de la nouvelle génération puisqu’il a disputé la course en 2008-09. Sanderson a également remporté l’édition 2005-06 à la barre de ABN AMRO ONE.
« La casse est absolument inévitable étant donné le niveau de performance des Volvo Open 70, notamment ceux de la dernière génération.
« Quand ils vont vite, ils tapent très durement sur l’eau. Il suffit de prendre une seconde et regarder ce que ces gars-là font encaisser à leurs bateaux. Parfois, ils n’ont même pas à faire un effort, vous savez. Parfois, ils essaient de ralentir le bateau mais ils n’y arrivent pas. Ces voiliers sont incroyables. »
Sanderson affirme que les dommages sur les bateaux ont toujours fait partie de la Volvo Ocean Race et a évoqué son expérience dans l’édition 2005-06.
« C’était la première fois que les Volvo Open 70 étaient utilisés dans cette course et nous avons eu beaucoup de problèmes, en particulier avec la quille, » se rappelle le Kiwi.
« Nous avons essayé de nouvelles choses qui n’avaient pas été testées auparavant et il y a eu des défaillances. Mais il y avait aussi des performances spectaculaires et des distances parcourues - en 24 heures - comme personne n’en avait connues auparavant, en particulier en monocoque. »
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La Webuild In Port Race de Gênes a été le théâtre des derniers départs et arrivées de la VO65 Sprint et d’une course épique autour du monde pour les IMOCA
Team Holcim-PRB termine sa première Ocean Race sur le podium en seconde position, en ayant porté son message Go Circular tout autour du monde. L’ensemble de l’équipe félicite 11th Hour Racing Team pour sa remarquable victoire, ainsi que l’ensemble des équipes engagées pour leurs performances réalisées sur ce tour du monde en équipage.
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Le nouveau Figaro Bénéteau serait-il déjà un succès ? La classe Figaro Bénéteau reconnaît comptabiliser entre 20 et 25 intentions d’achat. Le chantier Bénéteau qui a promis de construire 50 bateaux en un an remplit son carnet de commandes.
Après une saison record dont la principale épreuve était la Transat Jacques Vabre en double, Franck Cammas et Alain Gautier ont terminé au coude à coude. Chacun marque 78 points sur la saison mais c’est le skipper de Groupama qui s’impose grâce à sa victoire dans la transatlantique.
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La carène possède un air d’Europe. Laurent Brossat, son architecte et constructeur, avoue justement être un ancien régatier de cette série. Il a aussi navigué en Laser et s’est inspiré des skiffs, les 18 pieds australiens, pour dessiner un dériveur en solitaire de la nouvelle génération.
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Australian Layne Beachley today reached an ’Everest’ of a career goal by equaling the previous record set of four consecutive world titles by claiming her fourth at the Billabong Pro Maui, the final women’s World Championship Tour (WCT) of 2001. Neridah Falconer, meanwhile, achieved her own milestone this afternoon by defeating 1993 world (…)
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