Le Vendée Globe est terminé pour Samantha Davies. Mais ce n’est pas la fin de l’aventure pour autant. Avec son boat Captain, Erwan, elle a repris la mer à bord de Savéol afin de rentrer en Finistère Sud. Puisqu’elle ne disposait plus de gréement à la suite du démâtage du bateau, elle est allée chercher un petit espar afin d’envoyer une voile d’avant et… une voile de Laser, un dériveur de 4,20 m de long ! Avec ces petits mètres carrés, la revoilà en mer et toujours le sourire aux lèvres.
Le dernier message de Sam Davies en provenance de son bateau :
Bonjour tout le monde !
Savéol et moi, sommes de retour sur l’eau. Cette fois pour un autre challenge : celui de rentrer en France sans mât. Merci beaucoup à nos nouveaux amis rencontrés à Madère, à Erwan, Romain et Julien pour le dur travail accompli. Nous avons réussi à remettre Savéol sur pieds en deux jours et nous avons même trouvé un bout de mât pour faire notre gréement de fortune. Un grand merci au Club Del Mar à Funchal, et tout spécialement à Hugo qui s’est occupé de nous et également à Joao pour son aide.
Nous sommes partis chercher le mât à Caniçal et avons quitté Madère juste après. Nous avons passé du temps à monter le mât de fortune hier jusqu’à la tombée de la nuit. Il n’y avait pas de vent hier soir donc nous sommes partis au moteur et ce matin, nous avons hissé les voiles pour la première fois ! Nous avons mis la plus petite voile de tempête (Tourmentin) plus une voile de laser sur Savéol. Beaucoup de choses nous ont été données à Madère, ce qui signifie que nous avons des voiles un peu plus anciennes, mais ça va le faire pour le moment car nous attendons pas mal de vent pour aujourd’hui et demain. Malheureusement, demain nous aurons un vent de face, donc nous ne sommes pas certains de pouvoir beaucoup avancer. On croise les doigts....mais après la mer devrait être plus lisse jusqu’à Cascais.
Je suis vraiment fatiguée, donc j’ai pu me reposer et pour la première fois depuis le départ j’ai pu dormir dans mon sac de couchage OceanSleepwear avec mon oreiller. C’était vraiment SUPER de pouvoir dormir dans ma banette sur l’eau. Comme les conditions au cours de la première semaine de course étaient sports et ne m’avaient pas permis de manger correctement, j’ai découvert ces derniers jours toute la bonne nourriture que j’avais embarquée sans pouvoir y toucher !! D’autres nouvelles très bientôt !
L’équipage composé de Yoann Richomme, Mariana Lobato, Corentin Horeau et Pascal Bidégorry a franchi la ligne à Carthagène ce samedi à la 3e place à 08 :37 :41 (FR) après 5 jours, 14 heures et 37 minutes de compétition. Il boucle ainsi une étape mouvementée qu’il a un temps dominée, notamment en passant en tête le détroit de Gibraltar, avant (…)
Paul Meilhat et son équipe sur Biotherm poursuivent leur sans faute au classement général provisoire de The Ocean Race Europe après avoir récolté tous les points disponibles depuis le départ de Kiel, le 10 août dernier.
C’est juste avant le lever du jour, à 6h19 heure locale, que l’IMOCA Holcim-PRB a fait son entrée dans le port de Carthagène. À bord, Rosalin Kuiper, Franck Cammas, Nicolas lunven, Alan Roberts et Anne Beaugé (OBR) affichaient un immense sourire. Ils sont le deuxième équipage à arriver en Espagne après Biotherm, qui s’impose une nouvelle fois (…)
Après 4 jours intenses de réparations, de doutes et de travail collectif acharné, l’IMOCA Allagrande Mapei d’Ambrogio Beccaria est prêt à rejoindre Portsmouth pour prendre le départ de la deuxième étape de The Ocean Race Europe.
Le skipper normand Fabien Delahaye a remporté avec brio la deuxième étape de Les Sables – Horta – Les Sables. En s’imposant en solitaire au terme d’un parcours complexe entre les Açores et la Vendée, il prend également la tête du classement général de cette 10e édition.
Au terme d’une bataille acharnée et grâce à une option sud audacieuse, le skipper du Class40 LEGALLAIS s’offre la victoire sur ce retour des Açores après 5 jours 20 heures 39 minutes et 26 secondes de compétition. Troisième de la course aller en double, Fabien Delahaye et Pierre Leboucher remportent le classement général* de cette épreuve (…)
Jean Yves Bernot, Arve Roass and Grant Wharington sporting the unshaven look. It’s possible to see that we have been out sailing for a while. Onboard photo / djuice team.
No other team relies so heavily on French sailing expertise. World-renowned weather router and navigator Jean Yves Bernot plots the boat’s course, while Thomas Coville and Jaques Vincent support the team with trimming and driving. Building 25% of the total crew of 12, they a major force on deck of the pink yacht.
John Kostecki deserved to win this leg perhaps more than any other - it is hard to see where they put a foot wrong. And yet at one point a couple of days ago in the fickle wind conditions off the Brazilian coast, it looked as though victory could be cruelly snatched away from them. They led all the way up the South American coast, always the (…)
C’est ce matin, à 6h 58 - heure française, dans de tous petits airs, une chaleur moite et sur des airs de samba, que illbruck, a franchi la ligne d’arrivée de la 4e manche de la Volvo Ocean Race 2001-2002, après un sans faute de 23 jours, 5 heures, 58 minutes et 42 seconds de course dans une des manches les plus difficile du parcours.
Poussé par une bonne brise de nord d’environ 25 nœuds, Geronimo a avalé à vive allure le golfe de Gascogne au cours de ses premières heures de mer. 13 heures après avoir coupé la ligne de départ devant l’île de Ouessant, le grand trimaran gris avait déjà parcouru 299 milles à la moyenne de 23,2 nœuds. Une vitesse à laquelle il progressait (…)
Bruno Peyron has left Vannes, leaving repairs to Orange’s mast in the hands of the architects and engineers of the Mulitplast boat yard. Casting his thoughts back to the start and the incident which occurred only 30 minutes afterwards, Bruno Peyron commented : " It is difficult to describe what goes through your head when so much positive (…)
After almost 7000 miles of racing, the five leading boats in the Volvo Ocean Race fleet are locked into the tightest of battles. It could almost be likened to a Wild West Shoot Out. The action of the strategy, weather and boat to boat tactics is awe-inspiring and to the dedicated followers it will no doubt, now be bordering on addiction to (…)
Avec Ronan Gélébart, SeaSailSurf.com suit la progression du monocoque de croisière que le Finistérien construit avec sa femme Diane. Le Banjo est un voilier de 9,50 mètres de long dessiné par Pierre Rolland. Cette nouvelle étape de la construction concerne la partie avant du bateau : son étrave.
Le bateau anglais en match-race avec celui des Suédois. Photo : John Nash / GBR Challenge
La semaine de régate entre Class America organisée par le club qui va défendre une seconde fois à Auckland le fameux trophée s’est soldée par une nouvelle surprise : la victoire sur le fil et sous le pont d’Auckland Harbour des américains de OneWorld Challenge.