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"VSR2 a concrétisé exactement ce que son équipe de conception (Malcolm Barnsley et Chris Hornzee Jones d’AEROTROPE) avaient prévu. Le concept de l’engin prévoyait de toucher les 65 nœuds par 26 nœuds de vent réel" écrivait l’équipe de Paul Larsen le 22 novembre dernier après avoir battu le record du mille nautique. Mais ils ont fait encore mieux le 24 : "le GPS GT-31 a enregistré 67,74 nœuds et une moyenne de 65,37 sur 500 mètres !"
Le 22 novembre, Paul Larsen avait donc choisi de s’attaquer au record du mille nautique (1852 mètres) jusque là détenu par l’Hydroptère. Basé à Walvis Bay en Namibie, le pilote a pris le risque de s’élancer d’un peu plus loin au large pour pouvoir lancer sa machine à vent sur la distance minimum voulue. La vidéo ci-dessous est impressionnante et montre ce run sur un mille avec des pélicans pour témoins... et pas plus de 25 nœuds de vent réel sur zone ! Au bilan, un run à 55,3 nœuds, soit 5 de mieux que le précédent record de l’Hydroptère. Cerise sur le gâteau : un nouveau record sur 500 mètres qui a été amélioré deux jours plus tard, samedi 24 avec plus de 65 nœuds au chrono !
Tracté par son aile de kite, le voilier SP80 a atteint une vitesse de pointe de plus de 58 nœuds, soit 108 km/h. Ce nouveau record personnel place SP80 comme le deuxième voilier le plus rapide jamais mesuré, derrière Vestas Sailrocket II et ses 68.01 nœuds de vitesse maximale. Si la vitesse de pointe n’est pas prise en compte pour homologuer un (…)
Organisée par la Capitainerie de Port-Fréjus en partenariat avec la Team LSA, LA SEMAINE AFFOILANTE est un grand rassemblement de passionnés des engins à foil. Elle réunit, dans une ambiance conviviale et sur un même parcours nautique, des coureurs amateurs et professionnels.
Lundi 22 juin à Port Camargue, Jonathan Chodkiewiez a établi un premier temps de référence de la Tartine Cup, dans la catégorie Monocoque 6.50 équipage. Le trio composé du ministe, de Brice de Crisenoy et de Justin Baradat, a parcouru les 20 milles nautiques en 1h 58mn 15s à la vitesse moyenne de 10,15 nœuds à bord du Mini 6.50 Solvalor.
L’Hydroptère vient d’annoncer, une fois de plus, le report de sa tentative de traversée du Pacifique. Basé sur la côte ouest américaine depuis mai dernier, l’équipe du foiler français menée par Alain Thébault ne reste pas les bras ballants pour autant. Ils annoncent sur leur site l’Hydroptère Rocket !
Hydros a battu cet après-midi le record du Ruban Bleu sur le parcours Genève (Port Noir) - le Bouveret - Genève en 4 heures 45 (sous réserve d’homologation du Cercle de la Voile de la Société Nautique de Genève).
36 Moths étaient déjà arrivés, il y a quelques jours, à Marsala en Sicile. Ils sont venus prendre part aux championnats d’Europe de ces skiffs de 3,2 mètres de long. Et avant de se lancer dans la compétition, certains se sont défiés avec un GPS embarqué.
Two years after his first attempt, Yannick Bestaven has made an exploit by winning the Transat 650 Charente Maritime Bahia by finishing first in both legs.
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Deux ans après sa première expérience, Yannick Bestaven a réussi l’exploit inégalé de remporte la Transat 650 Charente Maritime Bahia en s’imposant sur les deux étapes.
Le lundi 5 novembre, au chantier Multiplast de Vannes, débutera la construction d’un nouveau Class America français. Après un an et demi de travail réalisé par un Design Team regroupant douze experts du meilleur niveau mondial, le Défi pour l’America’s Cup 2003 se félicite de remplir à l’heure le planning fixé.
Olivier Desport a franchi la ligne à 13h13 TU (14h13 heure française) en tête des Séries. Coup double pour cet amateur très éclairé qui gagne, comme Bestaven chez les Protos, l’étape et la course. (Olivier n’a cependant pas remporté la première étape en Série qui a été gagnée par Michel Mirabel sur Discount Marine ).
Nouvelle surprise au classement cumulé des deux étapes. S’il est déjà étonnant qu’un solitaire s’impose en remportant les deux manches de la Transat 650, un non Français vient de réaliser une excellente performance en s’adjugeant la deuxième place du podium.
“Dans le temps, au Québec, on avait la possibilité de donner à ses enfant un nom de famille différent. Ma mère, Dominique Manny, née en France, et mon père Carl Mailhot, on donc choisi de me donner le nom d’une rivière du grand Nord du Québec. Ils étaient partis là bas en 1968 pour faire une excursion en canot...”
Yannick a volé la vedette à Brian, à seulement quelques milles de l’arrivée qu’il coupe en vainqueur avec 27 minutes d’avance sur son homologue Anglais. Qui l’eut cru ? Pas Yannick en tout cas. « J’étais persuadé que Brian était déjà arrivé », lance le skipper, « je suis sur le cul ! ».